Comment prévenir et guérir les blessures liées à la pratique de la randonnée ?

En France et dans le monde, nombreuses sont les personnes qui pratiquent la randonnée. Et, en effet, comment mieux profiter des sublimes paysages que nous propose la Terre qu’en les parcourant à pied ? Toutefois, la randonnée, aussi paisible soit-elle, n’en reste pas moins un sport. Et, comme dans tous les sports, il est nécessaire de savoir prévenir et guérir les blessures liées à la pratique de la randonnée. Dans cet article, nous vous détaillons les différents moyens à mettre en œuvre pour y parvenir.

Prévenir et guérir les blessures liées à la randonnée : bien vous équiper

La première chose à faire pour prévenir les blessures liées à la randonnée est de vous équiper correctement. En effet, avoir le bon équipement est encore le plus efficace pour se prémunir des risques.

Les chaussures de marche : prévenir les blessures les plus courantes

Si votre randonnée se limite à une balade d’une heure dans un parc aux chemins goudronnés, de simples baskets feront évidemment l’affaire. Toutefois, si vous prévoyez des sorties plus longues et/ou sur des terrains plus accidentés, de véritables chaussures de randonnée seront indispensables. Pour cela, renseignez-vous consciencieusement. De très bons comparatifs vous permettront de vous faire une première idée, comme celui du site Lori-S.

Mais qu’ont-elles de si spécial ? Pour commencer, les chaussures de randonnée maintiennent mieux le pied et sont généralement respirantes. Par ailleurs, la souplesse de leur semelle est adaptée aux chemins caillouteux ou pentus. Elles sont également antidérapantes, ce qui limite le risque de chute. Ces trois caractéristiques préviendront, à elles seules, quelques-unes des blessures les plus fréquentes en randonnée : les ampoules, les entorses et les coupures. De plus, de bonnes chaussures vous éviteront également tensions musculaires et maux de dos.

Des vêtements adaptés pour éviter les risques thermiques

Les vêtements sont une composante importante pour prévenir le risque de blessures en randonnée. En effet, l’un des risques majeurs de ce sport est le risque thermique. Qu’il s’agisse d’une insolation, de coups de soleil ou d’hypothermie, ce sont vos vêtements qui vous en prémuniront.

Le mieux est donc de prévoir vos vêtements pour tous les temps. Privilégiez des vêtements respirants, confortables en pleine chaleur comme lors de grands froids, comme les vêtements thermiques. A défaut, optez pour une première couche légère mais couvrante, une polaire bien chaude et un pantalon convertible en short. Pensez également à prendre un imperméable, en cas de pluie, mais également en cas de vent. Les chaussettes sont également importantes. En effet, pour éviter les ampoules, elles ne doivent pas trop frotter sur votre peau et doivent, par contre, être respirantes. Par ailleurs, prévoyez-en plusieurs paires, pour garder les pieds au sec. Pour finir, songez à vous munir d’un chapeau ou d’une casquette. Quel que soit le temps, vous serez heureux de pouvoir vous couvrir la tête.

Les bâtons de randonneurs : un soutien optionnel mais intéressant

Les bâtons de randonneurs ne sont pas indispensables sur terrain plat. Sur terrain escarpé, en revanche, ils peuvent être utiles pour prévenir les blessures. En effet, leur utilisation permet de soulager un peu les jambes en reportant une partie de l’effort sur le haut du corps. En plus de permettre un travail physique plus complet, cela limite le risque de chute. Par ailleurs, en cas de torsion de cheville, le fait de porter moins de poids sur ses pieds permettra à la fois de diminuer la gravité de la torsion, mais aussi, éventuellement, de pouvoir continuer à marcher jusqu’à l’étape suivante pour y recevoir des soins.

Prévenir et guérir les blessures en randonnée, c’est aussi boire et manger !

Ce point est fondamental. Pour éviter les risques, quels qu’ils soient, il faut toujours avoir de l’eau et de la nourriture avec soi. L’hydratation est d’autant plus indispensable que l’effort fourni paraît faible… à tort. En effet, s’il n’est pas à proprement parler intense, il reste néanmoins long. Boire régulièrement est donc crucial.


La nourriture, quant à elle, vous permettra d’éviter d’éventuelles hypoglycémies. De plus, si vous vous égarez, avoir à manger vous donnera du temps pour retrouver votre chemin. Pour cela, pensez au aliments faciles à transporter, peu encombrants et intéressants d’un point de vue énergétique. Les fruits, c’est bien, mais c’est lourd et ça prend de la place. Préférez les fruits secs et les oléagineux, plus compacts. Les barres de céréales sont également super pour la randonnée. En outre, si vous partez plus longtemps, la nourriture lyophilisée peut être une bonne option, à condition d’avoir assez d’eau.

D’autres astuces en vrac pour prévenir les blessures en randonnée

Voici en complément d’autres options simples pour prévenir tout risque de blessure lors de vos randonnées :

  • évitez les lourdes charges : contraignantes pour le dos, elles accroissent la fatigue, donc le risque d’inattention et de blessure
  • emportez carte et boussole, et restez sur les chemins balisés
  • vérifiez la météo avant de partir
  • ne choisissez que des circuits adaptés à votre condition physique

La trousse de secours : les indispensables pour prévenir et guérir les blessures en randonnée

Vous le savez sûrement déjà, emporter une trousse de secours est indispensable lorsque l’on part en randonnée. Encore faut-il qu’elle ait été composée avec pertinence. Dans l’idéal, une trousse de secours complète devrait contenir :

  • Un antiseptique et des compresses
  • Des bandages de plusieurs tailles et, éventuellement, du strap
  • Quelques pansements, pour les ampoules
  • Un anti-douleur : ibuprofène ou doliprane (pas d’aspirine)
  • Du sparadrap et/ou des épingles à nourrice pour tenir les bandages
  • Une pince à épiler
  • Un garrot et un marqueur fin
  • Du sucre, en cas d’hypoglycémie
  • Une couverture de survie
  • Une aiguille
  • De petits ciseaux
  • Un Epipen, si vous avez des allergies

Vous aurez ainsi de quoi parer à de nombreux imprévus, de l’hypoglycémie à l’insolation en passant par les entorses. Bien sûr, cette composition est à adapter à la durée de votre randonnée et à la distance à parcourir.

Guérir les blessures liées à la randonnée : comment faire ?

Les ampoules, ennemi public numéro un

Très fréquentes, les ampoules se soignent en les perçant à l’aide d’une aiguille, puis en les vidant. N’en retirez toutefois pas la peau, qui protège le tissu plus profond du risque d’infection. Ensuite, désinfectez et recouvrez l’ampoule d’un pansement.

Piqûres, coupures et autres bobos : point trop n’en faut

Pour les piqûres, coupures et autres blessures sans gravité, une désinfection rapide, voire simplement un passage sous l’eau claire, est bien souvent suffisante. En effet, nul besoin d’en faire trop. Si la blessure est gênante, il peut toutefois être intéressant de la recouvrir d’un pansement. Cela évitera également le risque d’infection.

Guérir les entorses après une randonnée

L’entorse est une blessure courante et difficile à (bien) soigner. Il est évident que, sur le moment, vous ne pourrez pas faire grand chose. Prévenir les secours, ou essayez de continuer à marcher après avoir bander le pied et en s’aidant de bâtons de marche sont les seules choses à faire. Par ailleurs, glacez votre cheville aussi vite que possible, afin de limiter l’œdème et l’inflammation. A défaut, s’il y a une rivière pas loin, plongez-y le pied. Par la suite, une radio sera souvent nécessaire. En effet, une entorse étant souvent plus douloureuse qu’une fracture, il est possible de passer à côté.

Par la suite, toutefois, il est intéressant, en plus de la kinésithérapie, de faire appel à un ostéopathe. En effet, suite à une entorse, il arrive que l’astragale, l’os formant le talon, ne soit plus aussi bien maintenue. Vous risquez donc une usure prématurée de l’articulation de la cheville et des entorses à répétition. De plus, l’ostéopathie a une approche plus globale que la kiné. Ainsi, si vous avez compensé la douleur, créant des déséquilibres musculaires et posturaux, elle permettra de les corriger.

Les tendinites : un risque à ne pas négliger

Lors de sorties randonnée fréquentes, ou en cas d’équipement inadapté, un risque de blessure handicapant est la tendinite. En effet, le tendon, cette bandelette de tissu reliant le muscle à l’os, est très mal irrigué par les vaisseaux sanguins. Par conséquent, toute atteinte des tendons, comme celle des ligaments, est très longue à soigner.

En randonnée, les plus fréquentes sont la tendinite d’Achille, entre le talon et le mollet, et le syndrome de l’essuie-glace, à la face externe du genou. Dans les deux cas, il est important d’en faire évaluer la gravité par un professionnel. En effet, si vous sous-estimez l’importance de votre douleur, il peut être nécessaire d’opérer, car continuer à faire des efforts ne fera qu’aggraver l’atteinte du tendon. La prise en charge de ces douleurs est souvent multidisciplinaire, et il n’est pas rare de voir intervenir traumatologues, rhumatologues, kinésithérapeutes, ostéopathes et chirurgiens.

Prévenir et guérir les blessures liées à la randonnée : Conclusion

A première vue, en randonnée, il ne s’agit que de marcher ! Toutefois, si vous l’avez déjà pratiqué, vous deviez déjà avoir une bonne idée des risques que cela comporte. En effet, comme l’a vu, bien que la randonnée soit un sport plutôt calme, elle n’exclut pas tous les risques de blessures. C’est pourquoi il est important, voire indispensable, de se préparer correctement : un équipement adapté et une bonne trousse de secours vous permettront ainsi de pallier aux risques les plus courants. N’oubliez pas : le meilleur soin, c’est la prévention !

 Traiter les troubles du sommeil avec l’ostéopathie

Qui n’a jamais souffert de troubles du sommeil ? En France, 32% des individus en souffrent de façon récurrente. Or, une bonne santé nécessite un sommeil sain et réparateur. Toutefois, les causes de ces troubles sont multiples et parfois difficiles à identifier. Et quand bien même elles seraient identifiables, s’en débarrasser s’avère souvent compliqué ! Heureusement, l’ostéopathie peut aider à traiter les troubles du sommeil. Afin de vous expliquer les raisons de son efficacité, voici un article entièrement dédié à ce sujet.

Les causes des troubles du sommeil

Les causes et les manifestations des troubles du sommeil peuvent être multiples. Pour les identifier, il est nécessaire de les connaître. Ainsi, les troubles du sommeil proviennent souvent d’un désordre :

  • psychologique : stress, anxiété, dépression, choc émotionnel… La psyché a un impact important sur la qualité du sommeil.
  • physiologique : repas trop riche, cycle menstruel, médicaments, activité physique le soir, caféine, théine, alcool…
  • environnemental : lumière, bruit, chaleur, inconfort du matelas, travail en décalé…
  • pathologique : maladie, incontinence, génétique, fièvre, migraine, fatigue chronique…


Comme vous pouvez le lire, les causes sont nombreuses. Et leurs manifestations le sont tout autant ! Insomnies, difficultés à l’endormissement, réveils nocturnes, apnée du sommeil, terreurs nocturnes, somnambulisme… Certains sont transitoires, d’autres perdurent des semaines, des mois voire des années. Dans ce cas, de nombreuses conséquences pathologiques peuvent en découler : mauvaise digestion, prise de poids, troubles de l’attention… Il est donc fortement conseillé de les traiter au plus tôt.

L’ostéopathie pour traiter les troubles du sommeil

Si vos troubles excèdent une durée d’une semaine, il est important d’aller consulter un médecin en première intention. Il ne réglera toutefois pas tous vos problèmes. En effet, les traitements médicaux sont souvent symptomatiques. Autrement dit, ils ne traitent pas le problème à sa source mais uniquement les manifestations de celui-ci. Pour cette raison, consulter un ostéopathe s’avère souvent complémentaire, voire indispensable.

Le rôle de l’ostéopathe dans les troubles du sommeil

L’ostéopathie a d’abord une fonction diagnostic. Les différentes techniques et manipulations qu’elle comprend permettront à votre ostéopathe de définir l’origine de vos troubles du sommeil. Ainsi, il saura s’ils sont la conséquence d’un blocage interne ou d’un dysfonctionnement physiologique. Cela orientera la façon dont il vous prendra en charge pour vous soigner et vous conseiller au mieux et contribuera au rétablissement d’un sommeil optimal.

La stratégie de l’ostéopathie sur les troubles du sommeil

L’ostéopathie a cela d’intéressant que le praticien agit sur différentes composantes physiques et physiologiques. Dans le cas de troubles du sommeil, les différentes manipulations de votre ostéopathe réduiront les tensions musculaires et internes. Par ailleurs, il agira également sur l’équilibre du système nerveux autonome.

Le système nerveux autonome se charge de réguler toutes les fonctions inconscientes de votre corps : digestion, cycles veille-sommeil, etc. Il se compose du système nerveux sympathique et du système nerveux parasympathique. Les troubles du sommeil proviennent souvent d’un excès d’activation du système nerveux sympathique. Or, celui-ci régit tout ce qui nécessite un état de veille et de vigilance. Dans ce cas, l’ostéopathe va notamment agir sur le système nerveux parasympathique, qui favorise, quant à lui, la détente et le repos. En le sollicitant, l’ostéopathe va rétablir l’équilibre entre ces deux composantes du système nerveux autonome. Par chance, bien souvent, cette stratégie suffit à résoudre la majeure partie des problèmes.

L’ostéopathie pour traiter les troubles du sommeil : Conclusion

L’ostéopathie est indéniablement une technique de soin efficace pour traiter de nombreux troubles… dont les troubles du sommeil. L’approche de ces techniques, à l’écoute de votre corps, permet de traiter le problème à sa source et, ainsi, de s’assurer de sa disparition. Il faut toutefois compter deux à trois séances pour un résultat optimal. En effet, un déséquilibre ne se crée pas en un jour. Par conséquent, le retour à l’équilibre non plus. Dans tous les cas, avoir recours à l’ostéopathie s’avère une méthode de traitement efficace pour un retour à un sommeil réparateur.

 

Quelle est la différence entre un ostéopathe et une séance de pressothérapie ?

Il est utile de distinguer la pressothérapie de l’ostéopathie. Même si ces deux activités font partie d’une branche identique dans les traitements paramédicaux, elles sont différentes. Ces formes de thérapies manuelles ont peu de similitudes. Cependant, elles sont énormément complémentaires. En effet, suivre un traitement ostéopathie et pressothérapie permet de gagner un maximum de résultats.
À l’aide du mélange de ces deux formes de thérapies manuelles, vous pouvez voir rapidement des rendus intéressants et satisfaisants. Il est toutefois possible de choisir l’un de ces traitements pour remédier à un trouble fonctionnel ou émotionnel. Mais pour bien sélectionner entre ostéopathie et pressothérapie, il faut savoir les différencier. Détails !

L’ostéopathie, un traitement recommandé pour remédier à différentes affections et douleurs

L’ostéopathie est une forme de thérapie manuelle conseillée pour résoudre des problèmes de santé mécaniques. Qu’il s’agisse de tendinites, de sciatiques, de lumbago, de torticolis… cette solution est la meilleure. En effet, pour éliminer ces inconvénients et soulager des douleurs ressenties à cause de ces troubles, voir un ostéopathe est l’idéal. Ce professionnel dispose de connaissances et expériences avérés concernant le travail des articulations et muscles. En touchant à ces parties, il permet réduire et guérir de l’une de ces affections mécaniques.
De plus, consulter un ostéopathe ne requiert aucune ordonnance. Si vous ressentez des douleurs musculaires ou articulaires, vous pouvez de suite demander des séances. À noter que tout le monde peut adopter un traitement d’ostéopathie, même les bébés ou les seniors. Pour des troubles du sommeil ou comportementaux comme la dépression ou l’anxiété, ce type de thérapie manuelle est aussi efficace. En effet, il résout également ces problèmes de santé.

La pressothérapie, un moyen thérapeutique pour une meilleure remise en forme

Après un accident, une maladie ou du sport intensif, la pressothérapie est un traitement adapté. Il s’agit d’une thérapie manuelle qui se fonde sur l’activation de la circulation lymphatique et veineuse. En effet, les vaisseaux sanguins sont mieux stimulés pour améliorer la santé du patient. Au contraire de l’ostéopathie qui touche davantage les articulations et les muscles. À savoir qu’une séance de pressothérapie est plus appropriée pour les individus souffrant des œdèmes, gonflements, fatigues, varices, jambes lourdes, cellulites… Ces différents problèmes de santé peuvent être soignés par la pressothérapie.
Sachez que l’avantage de la pressothérapie en comparaison à l’ostéopathie est que cette thérapie permet de contrer l’accumulation de toxines. En effet, pour lutter contre l’augmentation des éléments néfastes dans l’organisme, suivre ce traitement manuel est le plus efficace. Grâce à la fonction drainage veino-lymphatique de la pressothérapie, les déchets sont totalement éradiqués. De plus, le patient profite d’une meilleure circulation sanguine après plusieurs séances.
Pour les personnes qui veulent se remettre en forme ou maigrir efficacement, ce moyen thérapeutique est plus performant. À noter également que la pressothérapie est mieux indiquée pour les sportifs, peu importe leur niveau. En effet, ce traitement se conjugue parfaitement avec la pratique du sport. Si vous souhaitez prévenir des risques de maladies sportives, adopter ce dispositif thérapeutique est excellent.

À quel moment consulter un ostéopathe ?

L’ostéopathe est un spécialiste incontournable en cas de perte de la mobilité. Après un accident, un choc traumatisant, une chute, une maladie…, prendre rendez-vous avec ce professionnel permet de se soigner. Grâce à ses compétences, certains troubles nerveux ou physiques peuvent être résolus. En effet, il traite de nombreux maux au niveau des muscles, des articulations, des viscères, des ligaments… Lorsque vous ressentez des douleurs dans ces parties, consulter un ostéopathe est recommandé. Sachez qu’il ne s’agit pas seulement du moment opportun pour s’adresser à un spécialiste de l’ostéopathie. Mais quand faut-il aller voir un ostéopathe ? Détails !

Consulter un ostéopathe pour prévenir divers troubles fonctionnels et douleurs

Le corps possède une intelligence incroyable. Malgré quelques contraintes du quotidien, il arrive à les supporter. Grâce à un système naturel de compensation, un individu peut retrouver ses aptitudes moteurs même avec son état de fatigue. À l’aide de sa capacité de récupération, l’homme a la possibilité de continuer ses tâches de tous les jours sans soucis. Cependant, à un moment donné, l’accumulation de trop de contraintes physiques entraine des troubles importants. Mais pas seulement, cela provoque également des douleurs presque insupportables. À cet égard, pour prévenir ces conséquences, consulter un ostéopathe est indispensable.
En effet, quelques séances d’ostéopathie peuvent être très bénéfiques pour empêcher l’apparition des douleurs. Mais pas seulement, voir ce spécialiste est idéal afin de réduire les risques d’un trouble fonctionnel. Durant une année, trois séances au minimum sont parfaitement suffisantes. À noter que le trouble fonctionnel que l’on peut anticiper avec l’ostéopathie se décline en différentes formes. Ce traitement a donc l’avantage de prévenir des maux comprenant la maladie cardio-pulmonaire, urinaire, céphalique, digestive, ORL…

Voir un ostéopathe pour guérir des problèmes de mobilité ou articulations

Vous ressentez des douleurs au niveau des articulations ? Vous avez du mal à bouger les jambes ? Vous avez le dos coincé après un faux mouvement lors d’une séance de sport ? Dans l’une ou l’autre de ces situations, recourir à l’intervention d’un ostéopathe est nécessaire. Afin de restaurer les aptitudes fonctionnelles des articulations et organes chez une personne, l’ostéopathie est la plus pratique. Ce traitement est curatif et permet de régler les inconvénients de santé au niveau de ces parties du corps. De plus, il s’agit d’un moyen de guérison accessible à tous, du plus jeune au plus âgé. En effet, n’importe qui peut suivre un traitement ostéopathique tout au long de sa vie. Bref, consulter un ostéopathe se fait en général lorsque certains maux apparaissent comme :

  • Des troubles concernant les parties locomotrices du corps. Ce type de problème comprend les douleurs articulaires, les dorsalgies, les lombalgies, les douleurs maxillaires…
  • Des douleurs cervicales, neurologiques…
  • Des troubles cardio-vasculaires, des hémorroïdes, des palpitations…
  • Des problèmes au niveau sciatiques…
  • Des indigestions, des ballonnements, la constipation…
  • Les rhinites, bronchites, sinusites, asthmes…

À part les douleurs et les problèmes de santé physique, les troubles comportementaux peuvent également se soigner avec l’ostéopathie. En effet, ce type de traitement est aussi conseillé pour des inconvénients comme la dépression, l’anxiété, le stress, la nervosité, les insomnies.

L’ostéopathie pour la femme enceinte

osteopathie femme enceinte

L’ostéopathie est une thérapie non conventionnelle basée sur des manipulations manuelles du système musculo-squelettique, afin de soulager les douleurs pouvant l’atteindre, mais aussi les troubles pouvant atteindre le système cardiovasculaire, neurologique, digestif, génito-urinaire et oto-rhino-laryngologique.

Les pratiquants de cette méthode sont appelés ostéopathes.

L’ostéopathe aura recours à une palpation, afin de trouver les déséquilibres et déceler les tensions et ainsi trouver la sources des troubles et des douleurs.

L’ostéopathie et la grossesse

Cette pratique est née aux États-Unis en 1873, et a été reconnue en France en 2002, en 2007 les décrets concernant sa pratique ont été promulgués.

Connue pour améliorer la souplesse articulaire, soigner l’impact des chutes et des traumatismes, beaucoup de sportifs ont recours à cette pratique.

La femme enceinte, est sujette durant sa période de grossesse à de nombreux troubles et douleurs, contre lesquels elle ne peut pas prendre de médicaments, notamment à cause des changements hormonaux et le poids du bébé, qui à un impact direct sur le dos et le bassin, pour cela l’ostéopathie est une bonne alternative pour soulager ses maux et troubles, tels que :

  • Les douleurs lombaires.
  • Les douleurs du bassin et des cotés.
  • Les nausées et vomissements.
  • Les jambes lourdes.
  • Les troubles digestifs et remontées acides.

Les résultats et bienfaits peuvent apparaître instantanément après la séance, généralement deux à trois séances suffisent, pour soulager vos douleurs, mais aussi améliorer la qualité de votre sommeil, vous reposer et rendre votre grossesse plus facile en soulageant votre bassin.

Cette pratique est sans danger pour le fœtus, néanmoins vous rencontrerez des difficultés à cause de l’impossibilité de vous coucher sur le ventre.

Au cours du dernier trimestre de grossesse, il y a certains geste à proscrire, notamment les manipulations structurelles articulaires au niveau du lombaire la ou se situe une partie de l’innervation de l’utérus, la manipulation de cette zone pourrait envoyer des informations fausses, suite à un signal nerveux.

Notez que certains ostéopathes sont spécialisés dans la grossesse.

Avant la séance d’ostéopathie

Avant la séance, un bilan complet est demandé, et ce afin de déterminer les causes des désagréments, et l’absence de pathologies qui nécessiterait des examens et soins plus approfondis.

Lors de la première séance, l’ostéopathe vous posera certaines questions, et vous donnera des conseils à la fin afin de faire durer les bienfaits de votre thérapie.

L’ostéopathie pour une grossesse plus sereine

Interview de Sabrina LEMENAGER, ostéopathe D.O.

 

L’intérêt de l’ostéopathie pour les femmes enceintes

Le suivi de la grossesse permet d’apporter plus de confort à chaque période du terme, et de prévenir les douleurs pouvant apparaître au moment des grandes modifications posturales. Enfin, la préparation ostéopathique de l’accouchement permet de mobiliser le bassin de la future maman afin de faciliter l’engagement du bébé, de rééquilibrer les tensions du périnée ou du système ligamentaire, afin de favoriser un accouchement le plus physiologique que possible.

Le fonctionnement de l’ostéopathie dans ce cas précis

Les techniques utilisées auprès des femmes enceintes ou après leur accouchement sont douces et sécurisées. Cela permet de leur apporter plus de mobilité, et de confort, face aux diverses contraintes lié à la progression de leur grossesse, et à la croissance du bébé.

Chaque manipulation est adaptée en fonction de la patiente, et de son terme.

Quelques conseils aux femmes enceintes pour une grossesse sereine

Il n’est pas nécessaire de venir très régulièrement en consultation, certaines étapes de la grossesse seront plus pertinentes. Un premier bilan au cours du 4ème mois permet de s’assurer que certaines dysfonctions (pouvant parfois dater d’avant la grossesse), ne viendront pas perturber l’adaptation du dos ou du bassin face aux grands changements posturaux à venir. Une séance  au cours du 7ème mois permet de corriger les premières tensions pouvant apparaitre, ou de soulager les douleurs liées à la progression de la grossesse. Une préparation ostéopathique à l’accouchement peut ensuite se faire 2 à 3 semaines avant la date du terme.

Nous pouvons ici rappeler aux femmes, qu’avant de consulter un ostéopathe durant leur grossesse, elles doivent s’assurer que leur praticien a bien suivi une formation spécialisée, adaptée à la prise en charge ostéopathique des femmes enceintes.

Ces patientes doivent être manipulées en douceur et en toute sécurité, cela impose donc d’importantes connaissances spécifiques.

Quelques mots sur notre interviewée

Sabrina LEMENAGER, ostéopathe D.O à Boulogne-Billancourt, est membre active au sein de la Société Européenne de Recherche en Ostéopathie Périnatale et Pédiatrique, elle intervient donc régulièrement auprès des femmes enceintes, et les accompagne après leur accouchement.

Elle nous explique que les consultations ont principalement deux objectifs :

– Soit de soulager les blocages ou douleurs pouvant survenir chez la femme durant sa grossesse (mal de dos, torticolis, sciatique, trouble digestif…), mais du fait qu’elle soit enceinte, certaines techniques seront contre-indiquées, et feront alors place à d’autres manipulations spécifiquement appropriées.

– Soit pour répondre à divers motifs directement liés à leur grossesse, par exemple lorsque le bébé est en siège, en cas de douleur ligamentaire, de reflux…

Son parcours

Sabrina est diplômée en ostéopathie depuis 11 ans, après 5 ans d’études en ostéopathie exclusive.

Après avoir enseigné plusieurs années au Centre Européen d’Enseignement Supérieur de l’Ostéopathie de Paris, ainsi qu’à l’université de Versailles-Saint-Quentin, elle a suivi une formation universitaire en pédiatrie, puis une certification en ostéopathie périnatale incluant le suivi de grossesse et la préparation ostéopathique à l’accouchement.

Son activité

Pour la gestion de son activité, Sabrina utilise le logiciel de gestion Osteo2ls, qui lui permet d’optimiser le suivi de chaque patient. Elle précise que les nombreuses personnalisations qu’elle a pu y apporter, lui permettent de l’adapter au mieux au déroulement de sa consultation.

Pour en savoir plus sur Sabrina LEMENAGER, rendez-vous sur osteopatheboulogne92.com. Le site internet du cabinet qui permet de regrouper les connaissances nécessaires sur la profession d’ostéopathe.

Nous pouvons y trouver une définition claire de la pratique de l’ostéopathie exclusive, ainsi qu’une description précise de ce que doit être une formation en ostéopathie agrée par le ministère de la santé.

Le site permet également d’informer les patients sur les motifs de consultations auxquels nous pouvons répondre, et de prendre rendez-vous directement en ligne.

Comment prendre rendez-vous chez un ostéopathe ?

L’ ostéopathie est une médecine douce qui connaît une forte ascension notamment pour les bienfaits qu’elle apporte aux malades, c’est une pratique qui prend en charge plusieurs affections comme les troubles gynécologiques, urinaires, les problèmes dorsales, ORL… Découvrez avec plus de détails tout ceci dans l’article qui suit où nous vous montrerons également comment prendre rendez-vous chez un ostéopathe ?

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La névralgie d’Arnold traitée par l’ostéopathie

Des picotements dans la nuque ? Une douleur dans le coup ? La lumière naturelle devient trop lumineuse ? Vous souffrez peut-être de la névralgie d’Arnold. Cette pathologie est connue des ostéopathes et ces derniers peuvent vous accompagner dans son traitement. On vous explique tout cela.

La névralgie d’Arnold, que l’on connait aussi sous le nom de névralgie occipitale ou encore d’Arnoldite, est un syndrome douloureux de la région occipitale, de la nuque à l’arrière de la tête.

Quelles sont les causes de cette névralgie ?

Comme toutes les névralgies, la sciatique étant une névralgie, la névralgie d’Arnold est causée par une inflammation ou la compression du nerf occipital majeur ou mineur. L’inflammation est généralement causée par des contractures musculaires chroniques du muscle trapèze, du muscle sterno-cléido-mastoïdien ou du muscle sous-occipitale (cou), par exemple. D’une manière générale, tous les muscles de la région cervicale, qui appuient sur ce nerf, peuvent causer cette inflammation. Quant à la compression du nerf, elle est aggravée par l’inclinaison de la tête ou l’appui sur l’oreiller. La mobilité du cou en est réduite.

Souvent, la pathologie apparaît de façon aiguë après un coup du lapin, suite à un accident de la circulation ou à un coup violent à la tête ou au cou, ou alors suite à une surcharge musculaire maintenue dans le temps, des positions prolongées, typiquement quotidiennement au travail devant un écran d’ordinateur, etc…

Une autre cause peut-être le durcissement des tissus et des muscles de l’occiput dû à l’artériosclérose ou à l’ostéoarthrose. Le stress est une autre cause majeure de névralgie occipitale. Enfin, d’autres raisons peuvent être des tumeurs, des hernies, des infections, le diabète, autrement plus complexes à solutionner.

Quels sont les symptômes associés à cette pathologie ?

La névralgie d’Arnold provoque des douleurs et/ou des engourdissements dans la nuque et à l’arrière de la tête. On peut également ressentir des paresthésies, sorte de picotements, un peu comme lors d’une sciatique, mais au niveau de la tête. Ces douleurs, qui peuvent être intenses, sous forme de crise de quelques minutes, avec des moments aigus et brulants, peuvent s’étendre derrière l’oreille, vers ou derrière le front et les yeux, avec une sensibilité toute particulière à la lumière. Le cuir chevelu devient également plus sensible et les mouvements du cou sont limités.

La description associée est généralement une vive douleur électrique qui part de l’arrière du crâne jusqu’à derrière l’oreille mais qui peut aussi se prolonger jusqu’à l’avant du crâne.

Douleur à la nuque

L’ostéopathie comme traitement

L’ostéopathie est très appropriée pour traiter cette pathologie. Même si le praticien a généralement une approche holistique, ici, les zones à traiter sont clairement identifiées. Une séance pourra commencer par une décompression manuelle du nerf. Un traitement du cou est ensuite effectué, au niveau des muscles et des vertèbres. L’ostéopathie crânienne trouvera également sa place avec un traitement occipital et temporel. Les étirements et la chaleur dans la région sont quelques-unes des choses que clairement recommandées de faire à la maison pour soulager la douleur, bien qu’il soit très recommandé de la traiter avec un professionnel. Une ou deux séances suffisent généralement à résoudre le problème.

Néanmoins, il reste essentiel de trouver la cause principale de l’inflammation. Le stress ? Un traumatisme ? Une mauvaise posture ? Le but étant de donner une solution à cette cause pour éviter les récidives.

Quelques recommandations

Comme évoqué plus, il est conseillé d’appliquer de la chaleur sur l’ensemble des muscles sollicités, plusieurs fois par jour, pendant 10 minutes. Les étirements de la zone du cou sont également conseillés

L’ostéopathie, en complément des autres thérapies

Il arrive que l’ostéopathie seule ne suffise pas à résoudre le problème. Une rééducation, au niveau du rachis cervical, chez un kinésithérapeute peut s’avérer être un bon complément.

Il existe également des solutions médicamenteuses complémentaires au traitement de votre ostéopathe.

Enfin, comme évoqué plus haut, il peut arriver que les causes de cette névralgie soient autrement plus complexes, avec des tumeurs, des hernies, etc. Dans ces cas-là, on peut envisager une chirurgie, en dernier recours.

Traitement ostéopathique de l’entorse de la cheville

Une entorse de cheville est l’une des blessures les plus courantes, et pourtant on a toujours quelqu’un qui nous parle des problèmes de cheville causés par une entorse mal guérie ou des personnes qui, après avoir subi une entorse, commencent à avoir des entorses répétées.

C’est peut-être parce qu’on n’a pas accordé assez d’importance à cette pathologie. Car une fois le ligament endommagé récupéré, le problème est souvent considéré comme résolu. Cependant, une entorse à la cheville peut être la cause de nombreux problèmes ultérieurs si elle n’est pas bien soignée.

Entorse externe de le cheville

Lorsque nous parlons d’entorse de cheville, nous faisons généralement allusion à l’entorse externe de cheville, car c’est la plus courante. Il s’agit d’une lésion du ligament externe latéral de la cheville dans laquelle la capsule articulaire et les muscles péroniers sont également touchés. Elle est produite par un mouvement forcé d’inversion du pied qui affecte un ou plusieurs des trois faisceaux qui composent le ligament latéral externe. Il y a un gonflement autour de l’articulation et un hématome.

On parle de trois degrés d’entorse. Au premier degré, il y a une distension du ligament atteint, au deuxième degré une rupture partielle du ligament et au troisième degré une rupture complète du ligament (une chirurgie peut être nécessaire).

Vue ostéopathique des dysfonctionnements mécaniques de l’entorse de la cheville

En plus de l’atteinte ligamentaire, les dysfonctionnements mécaniques les plus courants sont :

  • Dysfonctionnement somatique dans la compression tibio-tarsienne.
  • Dysfonctionnement somatique de l’astragale antérieur ou du tibia antérieur qui limite la flexion dorsale de la cheville.
  • Dysfonctionnement somatique de l’articulation péronéo tibiale supérieure postérieure.
  • Dysfonctionnement de l’articulation péronéo tibiale inférieure.
  • Dysfonctionnement somatique calcanéen interne.
  • Dysfonctionnement somatique dans l’infériorité du couple cuboïde/scaphoïde.

Tous ces dysfonctionnements sont de petites discordances entre les os du pied qui provoquent des blocages articulaires et ont des conséquences diverses s’ils ne sont pas résolus (même si le ligament s’est remis sans problème). Ils ne sont généralement pas très importants pour la médecine orthodoxe, mais les ostéopathes savent qu’il est vital de les traiter pour qu’à l’avenir il n’y ait plus d’entorses à répétition, d’entorses mal soignées, des problèmes aux genoux, aux hanches voire dans le dos car le pied est un capteur postural.

De plus, la rééducation par la proprioception de la cheville est essentielle pour prévenir les rechutes. Nous pouvons définir la proprioception comme la capacité du corps à localiser la position de nos articulations et de nos muscles afin de maintenir l’équilibre du corps. Il doit être rétabli par des exercices et des traitements spécifiques.

Traitement

Il est essentiel de bien traiter une entorse de cheville car si les dysfonctionnements mécaniques du pied ne sont pas relâchés, des symptômes peuvent apparaître à distance (ex : lombalgie) à la suite des adaptations nécessaires pour compenser le problème du pied.

Le traitement ostéopathique d’une entorse de cheville est prévu après confirmation du diagnostic et réalisation d’une série de tests fonctionnels.

Il faut faire la distinction entre le traitement aigu des entorses et le traitement en phase tardive ou chronique.

Dans une phase aiguë, l’ostéopathe se concentre sur le traitement spécifique du pied pour ensuite céder la place à une approche globale du patient.

Tout d’abord, le praticien traitera les dysfonctionnements du pied, du genou ou d’autres articulations, causés par des traumatismes, et restaurera ainsi l’équilibre biomécanique. En même temps, il traitera le ligament et les muscles affectés. Enfin, le thérapeute travaillera sur la proprioception.

Dans un premier temps, les techniques indiquées dans la phase aiguë, qui peuvent être utilisées, seront la manipulation articulaire, les techniques articulatoires, le drainage lymphatique, circulatoire, les trigger points, ligamentaires et se terminant par un bandage fonctionnel qui permet au patient de marcher. Les ultrasons et le froid peuvent être utilisés dans cette phase comme anti-inflammatoires.

La prochaine séance sera planifiée en fonction de chaque patient et l’état de mobilité de la cheville, la douleur, la force, la stabilité, etc. seront à nouveau évalués. Le traitement manuel sera poursuivi et d’éventuels déséquilibres causés par la blessure seront recherchés. Ainsi, en plus de l’articulation de la cheville, l’équilibre biomécanique général sera évalué.

Une fois l’intégrité ligamentaire et la fonction biomécanique rétablies, le patient continuera à effectuer des exercices de renforcement des muscles péroniers et des exercices de proprioception précédemment enseignés, afin de récupérer complètement et d’éviter de futures récidives.

Dans le cas d’entorses chroniques qui continuent de causer de la douleur, on retrouve des tissus ligamentaires fibreux et non structurés. On utilise généralement la technique de l’électrolyse percutanée guidée par ultrasons pour obtenir un tissu cicatriciel désorganisé et provoquer une réaction inflammatoire contrôlée afin qu’un nouveau processus de réparation tissulaire puisse être amorcé. Une fois cette technique appliquée, on peut commencer à faire travailler le ligament avec une charge importante afin qu’il puisse retrouver sa fonctionnalité.

Les chaussettes et bas de contention favorisent une meilleure circulation sanguine et offrent un soutien renforcé à la cheville, réduisant ainsi les risques d’entorses et de blessures tout en optimisant la récupération musculaire.

Se préparer à un examen avec la Kinésiologie

Utiliser la kinésiologie pour un examen

Que cela soit pour passer le permis de conduire, passer son baccalauréat, un examen de l’enseignement supérieur ou une prestation sportive évaluée, le stress s’invite souvent et nous empêche d’avoir accès à l’intégralité de notre potentiel. Pour cela, la kinésiologie va, grâce à ses techniques, permettre de libérer notre potentiel. Cela ne se substituera évidemment pas à un entraînement et une préparation nécessaire, mais il pourra permettre d’avoir accès à la totalité des entraînements réalisés avec facilité et rapidité.

1 – La pratique de la kinésiologie

La kinésiologie va avoir une approche globale sur la préparation à un examen. Grace à des tests musculaires, il va être possible d’identifier si le patient a des antécédents qui font qu’il peut être plus sujet ou non à un stress. Si par exemple le patient a eu des mauvaises expériences, comme le fait de rater plusieurs fois son permis ou son code de la route, il va être possible pour le praticien en stimulant les points réflexes correspondants aux blocages, afin de favoriser la décontraction et désactiver ces blocages pour le corps.
Dans le cas de la préparation à un examen, l’objectif va être de parvenir à gérer son stress et son anxiété.

2 – Maximiser le potentiel cérébral

Lorsque l’on prépare un examen, on souhaite bien sûr que notre préparation puisse être utilisée le mieux possible le jour J. En effet, le stress pendant les révisions et pendant l’examen peuvent faire que le cerveau va se bloquer, et devenir beaucoup moins performant que s’il était complétement détendu.

3 – Diminuer voir supprimer le stress

Grâce à ses différentes techniques douces, la kinésiologie va permettre de vous apporter différents bienfaits détaillés ci-dessous, pour arriver à votre examen sans stress.

A – Rester focalisé sur l’objectif pendant la ou les épreuves

L’un des premiers bienfaits va être que vous allez pouvoir gagner en capacité de « focus ». En effet, grâce à la diminution voir la suppression du stress, vous allez pouvoir vous concentrer à 100 % sur ce que vous êtes en train de faire à savoir passer votre examen. L’une des particularités du stress est de prendre de la place dans votre système de penser, et donc rendre difficiles les recherches pour trouver les informations que vous avez stockés dans votre mémoire. On peut comparer cela à la RAM d’un ordinateur, lorsque vous avez plusieurs fichiers ouvert, celui-ci va être plus lent et peut même parfois ramer.

B – Bien dormir la veille de l’examen

Un autre bienfait qui est en lien avec le fait de rester focaliser pendant l’examen, est de bien dormir la veille et les jours qui précèdent l’examen. Le stress de l’appréhension de l’exercice peut troubler notre sommeil ce qui a un impact direct sur la rapidité du cerveau, mais aussi la mémorisation pendant les séances de révisions. Le but est d’arriver à lâcher prise et se détendre.

4 – Compléter l’approche avec une séance d’ostéopathie

Un examen reste avant tout un objectif. Et comme un sportif, on s’entraîne pour un moment précis, ou il ne faut pas se rater.
Comme un sportif, il faut être en bonne condition physique pour l’examen. Si on est malade ou si on a de douleurs musculaires, notre mental va être pris par cela et nous aurons moins de pouvoir de concentration sur l’examen que nous sommes en train de passer.
Pour cela, l’ostéopathie propose des techniques adaptées pour remettre en le corps en mouvement, atténuer les maux physiques et stimuler l’énergie vitale du corps.

5 – Autre complément pour être à fond le jour J

Les fleurs de Bach sont souvent utilisées en complément de la kinésiologie dans le but d’ancrer les objectifs vus pendant la séance. Pour cela, un mélange de fleurs de Bach vous aide à maintenir votre stress au plus bas niveau jusqu’au jour de l’examen.

Le praticien peut également intégrer des exercices de relaxation et des exercices de respiration dans votre préparation. Cela viendra s’additionner aux bienfaits déjà apportés par la séance.