L’ostéopathie pour les enfants : que faut-il savoir ?

La petite enfance, l’enfance et la puberté sont des étapes cruciales du développement et du processus d’épanouissement de l’être humain. Pour cette raison, il faut veiller à suivre l’enfant de manière constante et régulière pendant ces périodes de la vie. L’ostéopathie intervient donc dans ce but pour accompagner et soigner l’enfant tout au long de son développement physique et psychologique. Découvrez ici l’essentiel à savoir avant de recourir à l’ostéopathie pédiatrique.

L’ostéopathie : qu’est-ce que c’est ?

Si vous n’êtes pas très informé sur le sujet, il est nécessaire que vous preniez connaissance de ce qu’est l’ostéopathie avant de prendre une quelconque décision.

Apparue au XIXème siècle aux États-Unis, l’ostéopathie est une méthode de soins thérapeutiques classée dans la catégorie des pratiques de la médecine douce. L’ostéopathie se base fondamentalement sur la manipulation manuelle des os et des muscles du corps. En France, la loi reconnaît l’ostéopathie comme méthode de traitement depuis 2002.

Lorsqu’elle est réalisée par un professionnel compétent, cette manipulation de l’appareil locomoteur agit non seulement sur les tissus organiques, mais aussi sur les principaux organes du corps. Si vous désirez essayer une séance de traitement ostéopathique dans le centre-nord de la France, Dimitri WOJTAKOWSKI, votre ostéopathe vous accueille dans son cabinet situé à Paris 13.

Pour soulager l’organisme, les ostéopathes font recours à plusieurs techniques de stimulation du système musculo-squelettique. Ainsi, lors d’une séance chez l’ostéopathe, votre médecin traitant pourra faire l’usage de techniques de pression de points, de massage, d’élongation et de torsion.

L’ostéopathie et les enfants : les questions à se poser

Les enfants ont un corps beaucoup plus fragile et délicat que celui des adultes, c’est un fait. Pour cette raison, tout traitement qui peut être réalisé sur un adulte n’est pas forcément adapté et recommandable pour les plus jeunes.

Si vous décidez de soumettre un enfant ou un bébé à la pratique d’une thérapie ostéopathique, il faudra donc vous poser les bonnes questions.

À quel moment faire une prise en charge ostéopathique ?

À quelques contre-indications près, l’enfant peut être pris en charge par l’ostéopathie dès son plus bas âge et même les nourrissons sont concernés. Elle permettra d’abord de s’assurer que l’enfant n’a pas eu de traumatisme lors de la grossesse. Très tôt, l’ostéopathe pourra détecter et soigner les problèmes posturaux chez l’enfant de 0 à 2 ans comme le trouble de la succion par exemple.

Ensuite, l’ostéopathie permet également de suivre le jeune enfant au moment de la prémarche en travaillant sur sa posture debout. Plus tard, elle aidera aussi à ce que l’enfant apprenne plus facilement à marcher.

À titre préventif, il est généralement recommandé de faire un bilan chez l’ostéopathe deux fois par an au moins pour déceler certaines affections. Cela permettra aussi d’assurer une croissance harmonieuse chez l’enfant et d’atteindre un développement psychomoteur optimal.

Pour quel genre de problèmes ?

Dans la vie de l’enfant, l’ostéopathie peut intervenir aussi bien de façon curative que préventive. Elle se présente également comme une bonne thérapie pour accompagner la période de la croissance et celle de la puberté.

De plus, des séances chez l’ostéopathe sont bénéfiques pour corriger les traumatismes aussi bien physiques que psychologiques.

Lors de l’apprentissage de la marche, l’enfant subit des chutes qui peuvent créer des troubles de toutes sortes, même lorsqu’elles sont peu inquiétantes :

  • des affections du système oto-rhino laryngologique ;
  • un sommeil agité ;
  • un mal à digérer et une constipation régulière ;
  • des déviations de la colonne vertébrale et du squelette ;
  • des accès de colère récurrents.

Un traitement ostéopathique bien réalisé est supposé pallier ce genre de problèmes chez les jeunes enfants. Il permet aussi de diagnostiquer, d’éliminer et d’atténuer les troubles de la statique chez les enfants qui se manifestent souvent par la scoliose, la cyphose et la lordose.

Pendant et après un traitement orthodontique qui nécessite la pose d’un appareil dentaire chez les plus jeunes, un suivi ostéopathique régulier est très recommandé. Il permet d’atténuer les contraintes au confort de l’enfant que crée l’appareil dentaire (maux de tête, troubles visuels et vertiges).

Dans certains cas, le suivi d’un traitement ostéopathique peut aider l’enfant scolarisé à surmonter certaines difficultés et certains troubles de l’apprentissage. Ainsi, l’ostéopathe peut servir d’accompagnateur lors de la scolarité de l’enfant en l’aidant à être plus concentré et plus réceptif aux cours.

Quelles sont les techniques employées ?

Au début du traitement, l’ostéopathe se contente d’effectuer un bilan général en posant des questions au parent et à l’enfant sur ses antécédents et un examen physique par palpation. Cela permettra au traitant de savoir si l’enfant est éligible à une thérapie ostéopathique.

En effet, la manipulation ostéopathique est contre-indiquée dans le cas de certaines pathologies chroniques. Il s’agit de toutes maladies provoquant une certaine fragilité des tissus osseux, conjonctifs et artériels et des formes d’hémorragie comme l’hémophilie.

Chez les bébés, l’ostéopathe doit rester très délicat lors de ses manipulations des tissus pour ne pas créer de traumatismes supplémentaires. Les manipulations crâniennes et pelviennes sont d’ailleurs proscrites dans ce cas.

Gardez à l’esprit qu’un ostéopathe n’est pas habilité pour prescrire des médicaments antibiotiques et pour signer des dispenses.

L’ostéopathie pour vous aider après une arthrodèse

Malgré tous les traitements que vous avez essayés et le suivi ostéopathique, vous souffrez toujours du dos ? Dans ce cas, le médecin peut envisager de vous faire subir une arthrodèse. Sachez qu’en post-opératoire, l’ostéopathie peut aussi être d’une grande utilité. En prenant rendez-vous chez votre ostéopathe, vous réduirez votre période de convalescence et pourrez ainsi reprendre plus rapidement vos activités.

L’arthrodèse, c’est quoi ?

L’arthrodèse est une intervention chirurgicale qui consiste à souder plusieurs vertèbres entre elles. Le but est d’empêcher les mouvements de ces dernières à l’origine des douleurs. L’opération est effectuée sous anesthésie générale. Le chirurgien pratique une incision de façon à avoir un accès direct aux vertèbres concernées. Pour les fusionner, celui-ci va utiliser des vis, des plaques ou des tiges en métal. Pour maintenir les vertèbres ensemble, il va également s’aider de greffons osseux, généralement prélevés sur le bassin du patient. Une fois l’arthrodèse terminée, le chirurgien recoud la plaie et garde le patient quelques jours en observation. Cette période permet, entre autres, de surveiller l’apparition éventuelle d’infections et d’effectuer le premier lever dès le lendemain, sous la surveillance du personnel médical.

Dans quels cas recourt-on à l’arthrodèse ?

L’arthrodèse est préconisée lorsque la douleur dorsale n’a pas pu être soulagée par les traitements médicamenteux, ni par l’action d’un ostéopathe ou d’un kinésithérapeute. Elle doit aussi être caractérisée par son intensité et par le fait qu’elle persiste au-delà de six mois. De plus, le patient souffre généralement de problèmes neurologiques qui réduisent à la fois ses sensations et sa mobilité, jusqu’à parfois une invalidité plus ou moins importante. Avant de décider de pratiquer l’arthrodèse, le chirurgien va peser le pour et le contre, pour prendre notamment en compte différents facteurs de risques comme un mauvais état de santé général, un âge avancé ou des difficultés particulières à se remettre d’opérations chirurgicales passées.

Quelles sont les pathologies concernées par l’arthrodèse ?

Il existe différentes pathologies restant rebelles aux traitements et qui débouchent fréquemment sur une arthrodèse. Parmi celles-ci, on retrouve :

  • La hernie discale : pour diverses raisons (vieillissement, contraintes trop importantes…), il arrive qu’un disque intervertébral se fissure ou se rompe, expulsant son noyau qui vient faire « hernie » contre la racine nerveuse adjacente.
  • La scoliose : cette déformation du dos entraîne une déviation de la colonne vertébrale qui, vue de face, prend la forme d’un « S » au lieu d’être droite. Dans ce cas, l’arthrodèse va être effectuée dans le but de redresser la colonne.
  • La discopathie dégénérative : touchant principalement les personnes de plus de cinquante ans, cette pathologie entraîne une dégénérescence des disques intervertébraux qui perdent leur souplesse et ne jouent plus leur rôle d’amortisseur.
  • Le spondylolisthésis : ce mot barbare correspond au glissement d’une vertèbre vers l’avant qui peut être la conséquence d’un choc ou d’un manque d’ossification de cette dernière.
  • La sténose rachidienne : dans ce cas, la douleur justifiant l’arthrodèse est due au rétrécissement du canal lombaire, orifice situé au centre de chaque vertèbre. Comme des racines nerveuses passent à cet endroit, si elles sont comprimées, par manque de place, elles déclenchent la douleur.

Comment l’ostéopathie peut vous aider après une arthrodèse ?

Après une arthrodèse, il est rare que les douleurs aient totalement disparu. Même si c’est le cas juste après votre sortie d’hôpital, celles-ci reviennent souvent à plus ou moins long terme. Or, l’ostéopathie peut vous aider à ne plus du tout souffrir du dos. Pour cela, il va agir à plusieurs niveaux. Tout d’abord, il va stimuler vos organes, comme le foie ou les reins, pour éliminer plus rapidement les résidus des produits anesthésiants. Cette action redonner plus d’énergie à votre organisme globalement. Votre praticien va également travailler sur les tissus cicatriciels qui ont tendance à « coller », ce qui crée des tensions sur la zone. L’ostéopathe va donc redonner de l’élasticité à la peau jusqu’aux couches profondes de celle-ci. Enfin, comme vous allez devoir réapprendre à vivre avec une nouvelle position de la colonne vertébrale, pour être sûr de supprimer définitivement les douleurs, votre ostéopathe va vous aider à vous habituer à cette nouvelle version de votre dos. Pour cela, il va diminuer les tensions inhérentes à celle-ci et apporter un nouvel équilibre durable à votre corps.

Être suivi par un ostéopathe avant une arthrodèse va augmenter vos chances pour guérir plus vite. Cependant, il est également essentiel de poursuivre ces consultations après l’opération. En effet, celles-ci vont aider votre organisme à se remettre du traumatisme subi durant l’intervention, et va également soulager vos douleurs. De plus, sur le long terme, l’action de l’ostéopathe vous permettra de dire totalement adieu à vos maux de dos.

Les conseils donnés dans cet article ne se substituent, en aucun cas, à un diagnostic posé par un médecin ou par tout autre professionnel de santé, ni à un traitement médical.

L’ostéopathie pour soulager les douleurs articulaires

Les douleurs aux articulations sont un mal très fréquent qui ne touche pas seulement les seniors, contrairement à une idée particulièrement répandue. En effet, un tiers des Français entre 18 et 24 ans disent en souffrir.(1) Au-delà de 24 ans, le pourcentage passe à 50 % (1). Or, ces douleurs, qui représentent une gêne importante au quotidien, peuvent être prévenues par quelques changements d’habitude et soulagées en consultant un ostéopathe.

Arthrose, arthralgie ou arthrite : et si on révisait notre vocabulaire ?

Lorsque l’on parle de douleurs articulaires, un certain nombre de termes reviennent, en lien avec celles-ci. Pour bien comprendre de quoi il s’agit, révisons notre vocabulaire :

  • l’arthralgie est le terme savant pour nommer les douleurs articulaires. Il est formé de deux mots grecs : « arthron » qui signifie « articulation et « algos » qui signifie douleur. Les arthralgies peuvent soit apparaître brutalement et sont qualifiées « d’aiguës » ou s’installer de façon progressive et devenir « chroniques ».
  • l’arthrose ou « ostéoarthrite » est la première cause des douleurs articulaires. Elle se traduit par une usure du cartilage de l’articulation.
  • l’arthrite est une inflammation qui touche les articulations et qui peut être liée à de l’arthrose ou non.
  • les rhumatismes correspondent à un grand nombre d’infections touchant les articulations. L’arthrose est l’un des plus importants, suivi par les rhumatismes inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde (qui touche principalement les mains et les poignets et qui se traduit par des articulations rouges et gonflées, entraînant des déformations de l’articulation) ou les spondylarthropathies ankylosantes (qui entraînent des douleurs très vives au niveau des vertèbres et du bassin).

Parmi les symptômes, la douleur en première ligne

Le premier symptôme d’une arthralgie est une douleur d’intensité variable, mais qui peut, dans certains cas, devenir insupportable, obligeant la personne à arrêter toute activité. Suivant l’articulation touchée, d’autres symptômes peuvent apparaître comme une tuméfaction, signe de la présence d’une inflammation. Lorsque la douleur articulaire est située dans le dos, elle peut entraîner des dorsalgies (lombalgies, cervicalgies…). Dans le cas de maladies inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde, la mobilité des articulations est réduite et une raideur s’intalle alors peu à peu. Lorsque la douleur est ressentie au niveau de plusieurs articulations, c’est le signe d’une polyarthrite ou « polyarthralgie ». Dans tous les cas, ces douleurs peuvent impacter de façon importante le quotidien des malades qui voient leur sommeil détérioré. Un certain nombre d’entre eux deviennent aussi incapables d’effectuer des gestes de la vie quotidienne et des activités de loisirs, avec des répercussions sur la vie familiale ou professionnelle.

L’approche ostéopathique pour des articulations toniques

Afin d’identifier la cause des douleurs de son patient, l’ostéopathe commence sa consultation en réalisant une anamnèse. Suivant les réponses qu’il obtient, il se fait une idée plus précise du type d’articulation touchée et de l’étendue de la gêne subie par la personne. Le praticien peut également demander des examens complémentaires ou réorienter son patient vers son médecin traitant, s’il soupçonne une pathologie sous-jacente comme une luxation, une fracture, une maladie dégénérative, etc. Une fois ce type de diagnostic écarté, l’ostéopathe redonne de la mobilité à l’articulation touchée en détendant les muscles et en agissant sur les structures autour de celle-ci (ligaments, tendons…). Pour cela, il utilise des techniques douces afin de ne pas réveiller la douleur. Pour ces mêmes raisons, il travaille « à distance » de l’articulation. Afin d’éviter le retour des douleurs, il vérifie également la présence de dysfonctionnements sur les zones du corps qui peuvent avoir une incidence sur l’arthralgie et les traite s’il y a lieu.

Les conseils de votre ostéopathe pour prévenir les douleurs articulaires

Il est possible de prendre soin de ses articulations, entre deux séances d’ostéopathie, pour éviter le retour des douleurs ou pour agir de façon préventive. Pour cela, votre ostéopathe peut vous conseiller de modifier votre alimentation pour, d’une part, éliminer un éventuel surpoids qui pèse sur vos structures articulaires et, d’autre part, diminuer le terrain inflammatoire. Pour cela, privilégiez les aliments anti-inflammatoires comme le curcuma et ceux riches en Oméga-3, par exemple. La pratique sportive est également encouragée dans le cas de douleurs articulaires, à condition qu’elle ne sursollicite pas les articulations. Choisissez donc une activité douce, comme la natation ou le yoga. Enfin, les massages à base d’huiles essentielles sont également susceptibles d’apporter un soulagement immédiat. Vous pouvez utiliser celles de genévrier ou d’eucalyptus citronné, diluées dans une huile végétale.

En cas de survenue de douleurs articulaires, prenez rendez-vous sans attendre chez un ostéopathe et mettez en place quelques gestes « santé » pour apaiser la douleur. Vous serez ainsi rapidement soulagé et éviterez l’apparition de douleurs chroniques. Dans tous les cas, en optant pour un suivi ostéopathique, associé à une alimentation adaptée et à une activité physique douce, vous augmenterez vos chances de retrouver rapidement une vie en pleine santé.

Les conseils donnés dans cet article ne se substituent, en aucun cas, à un diagnostic posé par un médecin ou par tout autre professionnel de santé, ni à un traitement médical.

Sources : (1) Sondage IFOP Les Français et les rhumatismes mené pour l’Inserm et « Ensemble contre les Rhumatismes » (2016).

Soulager naturellement la migraine ophtalmique

Soulager naturellement la migraine ophtalmique

La migraine ophtalmique fait partie de ces maux de tête qui résistent aux traitements médicamenteux, au grand désespoir des personnes concernées. En effet, il s’agit d’une pathologie qui est vraiment susceptible de perturber la vie des patients. Elle peut cependant être soulagée naturellement et, notamment, en faisant appel à un ostéopathe. Petit tour d’horizon des solutions qui existent pour retrouver un meilleur confort de vie.

La migraine ophtalmique : c’est quoi ?

Beaucoup de personnes pensent, à tort, que la migraine ophtalmique porte ce nom, car il s’agit d’un mal de tête qui se situe au-dessus des yeux. Or, ce n’est pas vraiment le cas. En effet, s’il s’agit bien d’une douleur au niveau du crâne, cette pathologie possède cependant des symptômes très spécifiques. Elle débute par des troubles visuels (taches brillantes, perte partielle ou totale de la vision…), le mal de tête arrivant seulement dans un second temps. Il est en général accompagné de nausées, de vertiges et d’une fatigue importante. Même s’il existe encore de nombreuses interrogations sur les causes de cette pathologie, on sait qu’elle peut être déclenchée par un environnement trop bruyant et/ou trop lumineux. Le stress et certains aliments comme l’alcool ou le chocolat sont également mis en cause dans sa survenue. Enfin, les femmes étant plus touchées que les hommes, un lien a aussi été établi entre les cycles menstruels et les migraines ophtalmiques.

Les huiles essentielles pour un soulagement immédiat

L’huile essentielle de menthe poivrée est réputée pour soulager les maux de tête quels qu’ils soient. Vous pouvez donc l’utiliser seule en première approche. Il vous suffit d’appliquer une goutte sur chaque tempe et de masser doucement la zone. Faites attention cependant à garder une distance suffisante entre l’huile et vos yeux ! Cette huile essentielle, associée à une autre, calmante, et à une qui est antispasmodique, va créer une véritable synergie en décuplant l’action des unes et des autres, ce qui va être salvateur sur les migraines ophtalmiques. Pour préparer cet « élixir », dans un flacon de 10 ml, muni d’un compte-gouttes, mettez 35 gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée, 20 gouttes d’huile essentielle de camomille romaine et 15 gouttes d’huile essentielle de lavande fine. Complétez avec de l’huile végétale de Jojoba. En cas de douleur, vous appliquerez une goutte de ce mélange sur vos tempes et vous pourrez également vous masser avec quelques gouttes sur la nuque.

Des techniques pour apprendre à gérer son stress

Comme le stress influe sur le déclenchement des migraines ophtalmiques, apprendre à le gérer peut en limiter l’impact. Nous vous présentons, ci-dessous, quelques façons de réduire son stress :

  • faire du sport : on ne le répétera jamais assez, mais pratiquer une activité physique est incontournable pour rester en bonne santé et pour éliminer les tensions dues au stress.
  • bien dormir : la fatigue fait partie des nombreux facteurs augmentant le risque de stress, il est essentiel de consacrer suffisamment d’heures à son sommeil et aussi et surtout, d’en prendre soin.
  • s’inscrire à un cours de yoga ou de Tai Chi Chuan, ou de Gi Qong : ces pratiques orientales n’ont plus rien à prouver concernant leur efficacité pour faire rendre plus zen.
  • rire : il a été démontré que lorsque nous rions, notre tension artérielle diminue, ce qui a une action positive contre le stress. Alors qu’attendez-vous pour commencer une série de livres humoristiques ou pour voir ou revoir de bons vieux films hilarants ?

L’ostéopathe pour une meilleure circulation crânienne

Même si le fonctionnement de la migraine ophtalmique comporte encore de nombreuses inconnues, ce dont on est sûr, c’est que les troubles de la vision qui signent la première phase des symptômes, sont dus à une vasoconstriction des artérioles du cerveau, alors que les maux de tête qui suivent, dans un second temps, sont déclenchés par une vasodilatation de celles-ci. Les techniques d’ostéopathie crânienne sont donc tout à fait indiquées pour rééquilibrer la circulation veineuse au niveau du cerveau. Les douleurs à la tête entraînant généralement des tensions au niveau du rachis cervical, l’ostéopathe va également redonner de la mobilité aux différentes vertèbres concernées. Il va étendre son action aux dorsales et aux côtes, car des tensions à ce niveau peuvent également avoir des conséquences sur l’irrigation sanguine du cerveau. Enfin, plus particulièrement pour les patientes, l’ostéopathe peut agir sur la sphère pelvienne pour éliminer les migraines causées par les variations hormonales inhérentes aux cycles menstruels.

À l’heure actuelle, de trop nombreux patients se sentent démunis face à la survenue de migraines ophtalmiques et n’ont alors pas d’autre choix que d’arrêter toute activité pour aller s’allonger dans le noir en attendant que ça passe. Cependant, il ne faut pas hésiter à pousser la porte d’un cabinet d’ostéopathie ou à tester l’une ou l’autre des méthodes naturelles qui présentent des bons résultats pour contrer cette pathologie et, ainsi, retrouver une vie normale.

Les conseils donnés dans cet article ne se substituent, en aucun cas, à un diagnostic posé par un médecin ou par tout autre professionnel de santé, ni à un traitement médical.

Exercices respiratoires pour augmenter la capacité pulmonaire

Je ne vous apprends rien si je vous dis que l’oxygène est le principal moteur du corps humain. C’est pourquoi il est essentiel de maintenant sur niveau de saturation en oxygène raisonnablement élevé.

Pour surveiller votre niveau de saturation en oxygène, il faut utiliser un oxymètre.

Comment avoir un bon niveau d’oxygène ?

Cela passe avant tout dans par votre façon de respirer.

Les ostéopathes observent une mauvaise respiration chez de nombreux patients, notamment ceux qui présentent des douleurs au cou, au dos, aux épaules ou qui souffrent de stress, d’anxiété ou de pathologies respiratoires associées. Une mauvaise respiration peut surmener les muscles accessoires de la cage thoracique, y compris les muscles du cou et de la poitrine. Il en résulte une restriction des mouvements des côtes.

Heureusement, il existe des exercices qui peuvent aider à maintenir et à augmenter la capacité pulmonaire, ce qui permet de maintenir plus facilement la santé des poumons des patients et d’apporter à l’organisme l’oxygène dont il a besoin.

1. La respiration diaphragmatique

La respiration diaphragmatique, ou « respiration du ventre », engage le diaphragme, qui est censé faire le plus gros du travail lorsqu’il s’agit de respirer.

Cette technique est particulièrement utile chez les personnes atteintes de problème respiratoire, car le diaphragme n’est pas aussi efficace chez ces personnes et pourrait être renforcé. La technique la plus utilisée est celle qui permet de se sentir reposé.

Voici ce que vous devriez faire pour pratiquer la respiration diaphragmatique :

  • Détendez vos épaules et asseyez-vous ou allongez-vous.
  • Placez une main sur votre ventre et une autre sur votre poitrine.
  • Inhalez par le nez pendant deux secondes, en sentant l’air entrer dans votre abdomen et en sentant votre ventre sortir. Votre ventre devrait bouger plus que votre poitrine.
  • Expirez pendant deux secondes par les lèvres pincées tout en appuyant sur votre abdomen.
  • Répétez l’opération.

2. Respiration par les lèvres pincées

La respiration à lèvres pincées peut ralentir votre respiration, ce qui réduit le travail de respiration en gardant vos voies respiratoires ouvertes plus longtemps. Cela facilite le fonctionnement des poumons et améliore l’échange d’oxygène et de dioxyde de carbone.

Cet exercice respiratoire est souvent plus facile pour les débutants que la respiration diaphragmatique, et vous pouvez le faire à la maison même si personne ne vous a montré comment faire. Il peut être pratiqué à tout moment.

Pour pratiquer la technique de respiration à lèvres pincées :

  1. Inspirez lentement par les narines.
  2. Pincez vos lèvres, comme si vous faisiez la moue ou étiez sur le point de souffler sur quelque chose.
  3. Expirez aussi lentement que possible par les lèvres pincées. Cela devrait prendre au moins deux fois plus de temps que pour l’inspiration.
  4. Répétez l’opération.

Conseils pour garder vos poumons en bonne santé

La prévention est le meilleur remède, et il est beaucoup plus efficace de s’efforcer de garder ses poumons en bonne santé que d’essayer de les réparer après un incident. Pour garder vos poumons en bonne santé, procédez comme suit :

  • Arrêtez de fumer, et évitez la fumée secondaire ou les irritants environnementaux.
  • Mangez des aliments riches en antioxydants.
  • Faites-vous vacciner, par exemple contre la grippe et la pneumonie. Cela peut aider à prévenir les infections pulmonaires et à promouvoir la santé des poumons.
  • Faites de l’exercice plus fréquemment, ce qui peut aider vos poumons à fonctionner correctement.
  • Améliorez la qualité de l’air intérieur. Utilisez des outils comme les filtres à air intérieurs et réduisez les polluants comme les parfums artificiels, les moisissures et la poussière.

Quelles sont les pathologies traitées en ostéopathie ?

L’ostéopathie est une pratique assez répandue en France. D’après l’IRDES, 13 millions de français affirment avoir déjà consulté un ostéopathe. C’est donc environ 40 % de la population qui a recours à cette thérapeutique manuelle mise au point par le Dr Andrew Taylor Still. Partant du principe que le bien-être du corps humain est lié au bon fonctionnement de son appareil locomoteur (articulations, muscles, squelette, nerfs, tendons), le traitement est fondé sur des manipulations osseuses ou musculaires. Dans cet article, on vous révèle les différentes pathologies qui bénéficient d’une prise en charge par un ostéopathe qualifié.

Douleurs articulaires et musculaires

Les douleurs musculaires touchent les muscles. Généralement causées par un étirement ou encore par la répétition d’un mouvement, elles peuvent aussi survenir à la suite d’une action trop violente. Les douleurs articulaires quant à elles proviennent des articulations. Si, le vieillissement du corps et du squelette en est la principale cause, ces douleurs peuvent également résulter d’un coup ou d’un choc assez important.

Ainsi, de nombreuses pathologies sont à l’origine des douleurs articulaires et musculaires. Parmi les plus importantes, nous avons : lombalgie (lumbago, sciatique, etc.), dorsalgie (torticolis, coup du lapin, côtes ou vertèbres bloquées, etc.), douleurs de genou (de cheville, de poignet), tendinopathies (tennis elbow), traumatologie du sport, douleur de mâchoire (articulation temporo-mandibulaire), etc. Un ostéopathe est également en mesure de proposer un traitement pour soulager les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde.

La prise en charge ostéopathique intervient automatiquement après consultation. Où que vous résidiez en France, vous pouvez faire appel à un spécialiste. Si vous résidez par exemple à Menton, nous ne saurons que trop vous conseiller de prendre rendez-vous en ligne sur le site https://xavier-desaubrys-osteopathe.fr/. Avec ses 30 années d’expérience dans le domaine de la santé et du bien-être, l’ostéopathe en chef de ce cabinet vous fournit des explications sur les diverses manipulations articulaires auxquelles il a recours dans le cadre d’une thérapie.

Troubles psychosomatiques, dysfonctions nerveuses et vasculaires

Bien qu’une proportion assez importante de la population souffre de troubles psychosomatiques, le phénomène est encore très peu connu dans nos sociétés. Le terme psychosomatique désigne en effet des troubles physiques ou organiques provoqués par des facteurs psychiques. En d’autres termes, il s’agit d’effets de l’esprit sur le corps humain.

Pour traiter ces troubles, on recourt d’ordinaire à la médecine psychosomatique. Même si le traitement intègre des théories venant d’autres approches (comportementales et sociales, physiologie de l’organisme, etc.), le protocole de soins reste fortement influencé par la psychanalyse. Cette méthode consiste en l’élucidation d’actes, de pensées ou symptômes en termes psychiques à partir d’une notion philosophique : déterminisme psychique.

La prise en charge d’un trouble psychosomatique étant pluridisciplinaire, le recours à l’ostéopathie semble évident. Cette discipline non conventionnelle propose une approche plus systémique de la guérison en regardant au-delà des symptômes physiques. Le protocole à ce niveau voudrait que l’ostéopathe s’intéresse au style de vie, aux habitudes et à l’état d’esprit du patient. Ainsi, tout à fait légitime qu’on lui affecte le traitement des troubles de la psyché : troubles du sommeil, fatigue, troubles de l’attention, hyperactivité, anxiété, nervosité, stress, crise d’angoisse, dépression, etc.

En dehors des troubles psychosomatiques, certains troubles et symptômes qui affectent le système nerveux ou vasculaire peuvent bénéficier d’un traitement ostéopathique. Vous pouvez donc consulter un spécialiste si vous souffrez de pathologies telles que : céphalées, migraines, palpitations cardiaques, troubles de la circulation (mauvais retour veineux, hémorroïdes, œdèmes du membre inférieur, syndrome des jambes sans repos, etc.), vertiges, névralgies (cruralgie, sciatalgie, névralgie cervico-brachiale, névralgie d’Arnold ou intercostale), etc.

Dysfonctions digestives et viscérales

Les dysfonctions digestives vont de simples douleurs au ventre après un repas, à la diarrhée ou à la constipation en passant par le ballonnement, les difficultés de digestion de certains aliments et les reflux gastro-œsophagiens. Ces troubles fonctionnels empêchant la bonne digestion, il est nécessaire d’être pris en charge très tôt par un spécialiste.

Un ostéopathe peut aider à réduire les troubles de la digestion et du transit aussi bien chez les adultes que chez les enfants et les nourrissons. Par troubles digestifs, on entend aussi : colique, régurgitation, nausées, syndrome du côlon irritable, brûlures d’estomac, etc. Le praticien se consacre aussi aux troubles liés à la petite enfance : poussées de dents douloureuses, difficultés à faire ses nuits, etc.

Lors de la consultation, le spécialiste recherchera les tensions au niveau de l’abdomen et procèdera à un examen de la colonne. Le protocole de soin va donc consister à traiter les tensions abdominales, de la colonne ou des structures osseuses environnantes.

L’ostéopathie viscérale étant un des piliers de la pratique ostéopathique, un bon cabinet vous garantit une prise en charge contre les tensions ou troubles fonctionnels viscéraux. Un traitement ostéopathique est également préconisé pour les séquelles de traumatisme, les accidents de la voie publique ainsi que les conséquences de chutes et de chocs au bassin, au coccyx, au crâne et à l’épaule.

La cruralgie : faire appel à l’ostéopathie ?

Vous mal au niveau du nerf fémoral ? Vous ne savez pas si cela est grave ? Vous pensez que la douleur passera d’elle-même ? Nous allons tout vous expliquer au travers de cet article ! Prêt à en savoir plus ? C’est par ici que cela se passe !

Qu’est-ce que la cruralgie ?

La cruralgie est une douleur ressentie au niveau de la cuisse. Cette dernière peut également être appelée sciatique du devant. En d’autres termes, il s’agit d’une névralgie située au niveau du nerf sensitif. Notons également que ce nerf permet deux fonctions :

  • La première est une action motrice. En effet, c’est lui qui permet à la cuisse de se plier vers l’abdomen, mais également de s’en éloigner pour ramener la jambe à sa position d’origine.
  • Il possède également une fonction sensitive. C’est le nerf qui rendra votre cuisse plus sensible. C’est également par ce nerf qui vous donne la sensibilité du haut de vos cuisses jusqu’à vos pieds.

Lorsque vous ressentez une douleur au niveau de ce nerf, nous appelons ça de la cruralgie. Vous pouvez aussi bien ressentir cette douleur à gauche, comme à droite. Mais il est possible que vous ayez mal aux deux cuisses en même temps, ce qui n’est pas forcément agréable.

L’un des moyens de ne plus avoir mal à ce niveau-là est de consulter un ostéopathe. Ce dernier sera en mesure de soigner la douleur que vous ressentez. Mais nous verrons cela plus tard, au sein de cet article.

Quels sont les symptômes de la cruralgie ?

Pour savoir si vous avez vraiment une cruralgie ou non, nous avons réalisé, rien que pour vous une liste des différents symptômes que vous pourrez ressentir :

  • Vous ressentez une douleur intense au niveau du devant de la cuisse. Ces dernières peuvent ressembler à des brûlures ou encore des décharges électriques.
  • Le niveau de douleur n’est pas la même en fonction de l’endroit où est situé l’inflammation. En effet, si cette dernière se situe à la racine du nerf ou sur le trajet, vous pourrez ressentir une douleur plus ou moins vive.

Vous avez mal au dos ? Sachez qu’une cruralgie peut également partir des lombaires. En effet, la douleur peut partir du bas du dos et continuer tout au long de votre cuisse.

Notons également que si le nerf en lui-même est comprimé sur son trajet, vous ressentez la douleur à ce niveau-là. Aussi, il faut savoir qu’une personne peut ressentir des picotements ou des fourmillements. Néanmoins, lorsque cette dernière se trouve en position assise, la cruralgie peut lui faire d’autant plus mal, ce qui n’est pas forcément l’idéal. Consulter un professionnel rapidement est donc la meilleure solution que vous puissiez avoir.

Quelles sont les conséquences de la cruralgie ?

Il est important de savoir qu’une cruralgie provient souvent d’une hernie discale. En effet, une personne ayant subi ce type de douleur peut, dans 90% des cas, avoir une cruralgie par la suite. Comment cela peut-il se faire ? Tout simplement parce que lorsque quelqu’un a une hernie discale, il se peut que le noyau du disque intervertébral appuie sur le nerf fémoral. C’est à ce moment-là que la douleur est créée chez le patient en question.

Notons également qu’une cruralgie peut provenir d’arthrose. En effet, il est fréquent que des personnes de tout âge ait de l’arthrose. Et si cela n’est pas soigné le plus rapidement possible, il faut simplement savoir que vous aurez un risque d’avoir une cruralgie.

Mais il est également possible d’avoir une cruralgie si vous avez un hématome au niveau du quadriceps, par exemple. Lorsque vous faites du sport, il est possible de se faire mal rapidement et donc avoir une cruralgie.

Vous pensez que la cruralgie n’est pas grave ? Il ne faut pas sous-estimer sa douleur. En effet, vous devez impérativement contacter un ostéopathe pour que la douleur passe facilement. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est possible que votre quadriceps soit paralysé si vous n’agissez pas le plus rapidement possible. Aussi, cette paralysie peut également entraîner des conséquences sur le genou ou encore les pieds, ce qui n’est pas forcément l’idéal.

Il faut aussi savoir que la cruralgie a pour conséquence d’entraîner de l’incontinence chez la personne. Il est également possible que chez certains patients, ces derniers aient du mal à uriner. La dernière conséquence que cela peut avoir est de tout simplement avoir de la fièvre, ce qui n’est pas forcément agréable !

Vous l’aurez compris, vous devez consulter un médecin rapidement, si vous avez l’un des symptômes que nous avons évoqués ci-dessus.

Faire appel à un ostéopathe pour soigner une cruralgie ?

L’ostéopathe est certainement l’interlocuteur qu’il vous faut. En effet, ce dernier adaptera son traitement à chaque patient. Il prendra donc le temps de vous connaître, mais également de savoir comment est votre douleur et où cette dernière se situe. En d’autres termes, vous pouvez lui faire confiance : le traitement et les gestes qu’il aura envers vous seront totalement personnalisés.

De plus, l’ostéopathe va tout simplement essayer de redonner de la mobilité au nerf fémoral. Il sera également en mesure de rendre la souplesse initiale à votre muscle, ce qui n’est pas négligeable.

De manière générale, l’ostéopathe est la personne qui vous permettra de ne plus avoir mal. Bien évidemment, il faudra certainement plusieurs séances pour que votre muscle soit totalement souple. Aussi, votre ostéopathe sera en mesure de vous donner d’autres positions pour éviter que de nouvelles douleurs ne surviennent.

Vous l’aurez compris, l’ostéopathe est l’un des thérapeutes qui sera le plus à-même de vous guérir si vous avez une cruralgie. Il est également important de savoir que vous ne devez pas attendre trop longtemps avant de consulter. En effet, il ne faudra pas que la douleur ne devienne trop gênante pour vous. Aussi, faîtes attention à ce qu’une cruralgie peut avoir comme conséquences par la suite ! Nous espérons que cet article vous aura plu, mais également qu’il vous aura aidé !

Ostéopathie pour soulager les maux de dos

Le mal de dos ne produit pas simplement une douleur dans le dos, il peut souvent provoquer des symptômes dans des zones plus éloignées telles que les fesses, l’aine, les hanches et les jambes (communément appelées sciatique).

Des problèmes au niveau de la colonne vertébrale et du cou peuvent également provoquer des symptômes tels que des étourdissements, des maux de tête, un claquement de mâchoire, des épingles et des aiguilles et bien d’autres.

Les ostéopathes sont des professionnels formés qui sont qualifiés pour diagnostiquer les problèmes, y compris ceux qui peuvent nécessiter une enquête plus approfondie si nécessaire.

Il est régulièrement recommande d’utiliser des thérapies de manipulation, ainsi que l’ostéopathie, pour le traitement des lombalgies.

Votre traitement

Les ostéopathes utilisent un large éventail de manipulations douces, selon votre âge, votre forme physique et votre diagnostic. Le traitement est différent pour chaque patient, mais peut inclure des techniques telles que différents types de massage des tissus mous et l’articulation des articulations pour relâcher la tension, étirer les muscles, aider à soulager la douleur et mobiliser vos articulations. Parfois, lorsque nous bougeons des articulations, vous pouvez entendre un «clic». C’est exactement comme le clic que les gens obtiennent lorsqu’ils se cassent les jointures.

Garder une colonne vertébrale et des articulations saines

Lorsqu’il est jeune, le corps peut s’adapter facilement au stress et à la tension qu’il subit. En vieillissant (plus de 25 ans!).

Il commence à perdre une partie de l’élasticité qui donne au corps la souplesse nécessaire pour s’adapter et s’adapter. Cela s’applique en particulier aux disques entre les vertèbres et le cartilage articulaire. Ceux-ci nécessitent un mouvement régulier pour assurer leur portée maximale et ainsi augmenter la circulation locale et la nutrition des fluides et des tissus environnants.

10 meilleurs conseils pour les Soulager les Maux de Dos

  1. Continuez à bouger et à vous étirer
  2. Faites régulièrement de l’exercice
  3. Faites des pauses fréquentes entre les tâches répétitives et faites varier le rythme
  4. Changez de position – évitez les bosses informatiques
  5. Réglez-vous lorsque le travail est lourd, par ex. Jardinage
  6. Ajustez les sièges d’auto, et sur les longs trajets, faites des pauses et étirez-vous
  7. Surveillez la posture des enfants – ne les laissez pas porter des sacs sur une épaule
  8. Évitez les tensions lors du levage, en particulier lorsque vous magasinez et avec de jeunes enfants
  9. Votre lit est-il le bon ou vieillit-il ?
  10. Demandez des conseils ostéopathiques plus tôt que tard

Vous souhaitez prendre Rendez-vous avec un OSTEOPATHE professionnel :

Pour être admissible, un ostéopathe doit étudier pendant quatre à cinq ans pour un diplôme de premier cycle. Cela ressemble à un diplôme en médecine, avec plus d’accent sur l’anatomie et la médecine musculo-squelettique et comprend plus de 1 000 heures de formation aux techniques ostéopathiques.

Des problèmes au niveau de la colonne vertébrale et du cou peuvent également provoquer des symptômes tels que des étourdissements, des maux de tête, un claquement de mâchoire, des épingles et des aiguilles et bien d’autres.

Les ostéopathes sont des professionnels formés qui sont qualifiés pour diagnostiquer les problèmes, y compris ceux qui peuvent nécessiter une enquête plus approfondie si nécessaire.

Comment l’ostéopathie soulage vos cervicales

Soulager une douleur aux cervicales

Les vertèbres du cou peuvent parfois faire souffrir : entre 30 et 50% des Français seraient concernés par ce type de douleur. La cervicalgie est non seulement fréquente mais elle perturbe le quotidien des personnes qu’elle affecte. Zoom sur ce mal aux cervicales qui peut (heureusement) être apaisé voire évité.

Les conséquences de la cervicalgie

Bien que sans gravité et pouvant être calmée sans soins, avec du repos et de la patience, cette douleur fait néanmoins souffrir. Les récidives ne sont pas rares : il faut donc prendre ces symptômes au sérieux. La colonne vertébrale comporte sept vertèbres cervicales dont les plus hautes sont nommées « atlas » et « axis ». Ces éléments osseux ont pour rôle de maintenir la tête.

Elles la portent et permettent sa mobilité latéralement et de haut en bas. Ces vertèbres ont donc une grande flexibilité. Or cette capacité est parfois contrainte par diverses formes de douleurs affectant les cervicales. Le fameux torticolis est causé par une contracture du muscle sterno-cléido-mastoïdien. Il en résulte une gêne et même une raideur du cou plutôt douloureuse.

Moins connue, l’arthrose cervicale (ou cervicarthrose) concerne le plus souvent des personnes qui ont cinquante ans ou plus. Elle correspond à une érosion des disques intervertébraux, avec des altérations osseuses le cas échéant. Enfin, il existe aussi des entorses cervicales. Celles-ci surviennent en cas de distorsion des ligaments reliant les cervicales entre elles. Une entorse cervicale survient après un choc intense. Toutes ces cervicalgies sont douloureuses, à des degrés variés.

Des douleurs souvent très invalidantes

Il est possible de se réveiller la matin avec une « simple » douleur à la nuque parce que l’on a dormi dans une position inadaptée. Cela peut également arriver aux personnes penchées des heures durant sur leur bureau. Le stress constitue aussi un facteur de risque. Le port de charges lourdes est une autre cause potentielle de développer un trouble cervical. Le vieillissement naturel de l’organisme augmente également les probabilités d’avoir mal au niveau du cou.

Dans le cas d’une arthrose cervicale, la douleur est particulièrement aiguë. Certains patients ont le cou complètement bloqué, ce qui bien sûr rend le quotidien très difficile. Les trajets en voiture sont risqués si l’on ne peut pas tourner la tête avec facilité. Porter ses sacs de commissions, se saisir d’objets est tout aussi malaisé. Au pire, les personnes touchées ressentent en plus des céphalées, une grande fatigue ainsi que des douleurs qui irradient jusqu’aux bras voire aux mains.

En pareil cas, la tentation est grande de recourir à des anti-douleurs pour apaiser ses maux. En général, des anti-inflammatoires non-stéroïdiens sont prescrits, accompagnés d’une mise au repos. Cependant, la réponse médicamenteuse ne convient pas forcément à certains patients car des contre-indications existent.

Les bienfaits d’une approche holistique

La thérapie pratiquée en consultation chez un ostéopathe peut intervenir en complément d’un traitement médicamenteux ou le remplacer pour les cas bénins. Ainsi la convalescence sera écourtée et les récidives évitées. Si le patient n’a pas subi de traumatisme cervical, l’ostéopathe va rechercher les autres causes possibles.

Il interroge la personne en souffrance afin de connaître ses habitudes de vie, les sports qu’elle pratique ou ses activités sortant de l’ordinaire. Cette consultation chez un ostéopathe sert à adapter le traitement en fonction de l’origine du mal. Les réponses à ses questions lui permettent de tester manuellement les parties du corps qui entravent la souplesse des cervicales. Le thérapeute va agir sur elles mais également sur certains organes qui contribuent à ce dysfonctionnement.

Il s’occupe en plus des tissus et des muscles de la zone concernée qui peuvent eux aussi engendrer des douleurs. Par ailleurs, l’ostéopathe veille à recréer l’équilibre global du corps du patient. Cette condition est indispensable pour garantir le rétablissement complet de la personne qu’il soigne. De cette manière, le thérapeute fait non seulement disparaître la douleur au niveau des vertèbres mais il assure un soulagement durable au patient.

L’intérêt d’une stratégie de prévention

Hormis les entorses cervicales qui sont dues à un choc imprévisible du type « coup du lapin », les douleurs ressenties au niveau de ces vertèbres sont évitables. L’ostéopathie agit en effet à titre préventif en plus d’être un excellent moyen d’apaiser des lésions musculaires et osseuses douloureuses.

Selon la cause qui rend les vertèbres du cou peu mobiles, un ostéopathe donne de bons conseils pour ne pas subir à nouveau cette situation. Il peut s’agir d’un changement d’oreiller, de matelas ou bien de réorganiser son espace de travail. Les étirements sont également bénéfiques, à ce titre le thérapeute les recommande aussi. Ces exercices permettent en effet de conserver une mobilité optimale de son cou à long terme.

En optant pour l’ostéopathie, les patients profitent d’une thérapie douce capable de limiter voire d’éliminer le recours aux médicaments antalgiques. Ce point est particulièrement intéressant pour les seniors qui prennent souvent des traitements conséquents pour soigner des pathologies chroniques.

Comment prévenir et guérir les blessures liées à la pratique de la randonnée ?

En France et dans le monde, nombreuses sont les personnes qui pratiquent la randonnée. Et, en effet, comment mieux profiter des sublimes paysages que nous propose la Terre qu’en les parcourant à pied ? Toutefois, la randonnée, aussi paisible soit-elle, n’en reste pas moins un sport. Et, comme dans tous les sports, il est nécessaire de savoir prévenir et guérir les blessures liées à la pratique de la randonnée. Dans cet article, nous vous détaillons les différents moyens à mettre en œuvre pour y parvenir.

Prévenir et guérir les blessures liées à la randonnée : bien vous équiper

La première chose à faire pour prévenir les blessures liées à la randonnée est de vous équiper correctement. En effet, avoir le bon équipement est encore le plus efficace pour se prémunir des risques.

Les chaussures de marche : prévenir les blessures les plus courantes

Si votre randonnée se limite à une balade d’une heure dans un parc aux chemins goudronnés, de simples baskets feront évidemment l’affaire. Toutefois, si vous prévoyez des sorties plus longues et/ou sur des terrains plus accidentés, de véritables chaussures de randonnée seront indispensables. Pour cela, renseignez-vous consciencieusement. De très bons comparatifs vous permettront de vous faire une première idée, comme celui du site Lori-S.

Mais qu’ont-elles de si spécial ? Pour commencer, les chaussures de randonnée maintiennent mieux le pied et sont généralement respirantes. Par ailleurs, la souplesse de leur semelle est adaptée aux chemins caillouteux ou pentus. Elles sont également antidérapantes, ce qui limite le risque de chute. Ces trois caractéristiques préviendront, à elles seules, quelques-unes des blessures les plus fréquentes en randonnée : les ampoules, les entorses et les coupures. De plus, de bonnes chaussures vous éviteront également tensions musculaires et maux de dos.

Des vêtements adaptés pour éviter les risques thermiques

Les vêtements sont une composante importante pour prévenir le risque de blessures en randonnée. En effet, l’un des risques majeurs de ce sport est le risque thermique. Qu’il s’agisse d’une insolation, de coups de soleil ou d’hypothermie, ce sont vos vêtements qui vous en prémuniront.

Le mieux est donc de prévoir vos vêtements pour tous les temps. Privilégiez des vêtements respirants, confortables en pleine chaleur comme lors de grands froids, comme les vêtements thermiques. A défaut, optez pour une première couche légère mais couvrante, une polaire bien chaude et un pantalon convertible en short. Pensez également à prendre un imperméable, en cas de pluie, mais également en cas de vent. Les chaussettes sont également importantes. En effet, pour éviter les ampoules, elles ne doivent pas trop frotter sur votre peau et doivent, par contre, être respirantes. Par ailleurs, prévoyez-en plusieurs paires, pour garder les pieds au sec. Pour finir, songez à vous munir d’un chapeau ou d’une casquette. Quel que soit le temps, vous serez heureux de pouvoir vous couvrir la tête.

Les bâtons de randonneurs : un soutien optionnel mais intéressant

Les bâtons de randonneurs ne sont pas indispensables sur terrain plat. Sur terrain escarpé, en revanche, ils peuvent être utiles pour prévenir les blessures. En effet, leur utilisation permet de soulager un peu les jambes en reportant une partie de l’effort sur le haut du corps. En plus de permettre un travail physique plus complet, cela limite le risque de chute. Par ailleurs, en cas de torsion de cheville, le fait de porter moins de poids sur ses pieds permettra à la fois de diminuer la gravité de la torsion, mais aussi, éventuellement, de pouvoir continuer à marcher jusqu’à l’étape suivante pour y recevoir des soins.

Prévenir et guérir les blessures en randonnée, c’est aussi boire et manger !

Ce point est fondamental. Pour éviter les risques, quels qu’ils soient, il faut toujours avoir de l’eau et de la nourriture avec soi. L’hydratation est d’autant plus indispensable que l’effort fourni paraît faible… à tort. En effet, s’il n’est pas à proprement parler intense, il reste néanmoins long. Boire régulièrement est donc crucial.


La nourriture, quant à elle, vous permettra d’éviter d’éventuelles hypoglycémies. De plus, si vous vous égarez, avoir à manger vous donnera du temps pour retrouver votre chemin. Pour cela, pensez au aliments faciles à transporter, peu encombrants et intéressants d’un point de vue énergétique. Les fruits, c’est bien, mais c’est lourd et ça prend de la place. Préférez les fruits secs et les oléagineux, plus compacts. Les barres de céréales sont également super pour la randonnée. En outre, si vous partez plus longtemps, la nourriture lyophilisée peut être une bonne option, à condition d’avoir assez d’eau.

D’autres astuces en vrac pour prévenir les blessures en randonnée

Voici en complément d’autres options simples pour prévenir tout risque de blessure lors de vos randonnées :

  • évitez les lourdes charges : contraignantes pour le dos, elles accroissent la fatigue, donc le risque d’inattention et de blessure
  • emportez carte et boussole, et restez sur les chemins balisés
  • vérifiez la météo avant de partir
  • ne choisissez que des circuits adaptés à votre condition physique

La trousse de secours : les indispensables pour prévenir et guérir les blessures en randonnée

Vous le savez sûrement déjà, emporter une trousse de secours est indispensable lorsque l’on part en randonnée. Encore faut-il qu’elle ait été composée avec pertinence. Dans l’idéal, une trousse de secours complète devrait contenir :

  • Un antiseptique et des compresses
  • Des bandages de plusieurs tailles et, éventuellement, du strap
  • Quelques pansements, pour les ampoules
  • Un anti-douleur : ibuprofène ou doliprane (pas d’aspirine)
  • Du sparadrap et/ou des épingles à nourrice pour tenir les bandages
  • Une pince à épiler
  • Un garrot et un marqueur fin
  • Du sucre, en cas d’hypoglycémie
  • Une couverture de survie
  • Une aiguille
  • De petits ciseaux
  • Un Epipen, si vous avez des allergies

Vous aurez ainsi de quoi parer à de nombreux imprévus, de l’hypoglycémie à l’insolation en passant par les entorses. Bien sûr, cette composition est à adapter à la durée de votre randonnée et à la distance à parcourir.

Guérir les blessures liées à la randonnée : comment faire ?

Les ampoules, ennemi public numéro un

Très fréquentes, les ampoules se soignent en les perçant à l’aide d’une aiguille, puis en les vidant. N’en retirez toutefois pas la peau, qui protège le tissu plus profond du risque d’infection. Ensuite, désinfectez et recouvrez l’ampoule d’un pansement.

Piqûres, coupures et autres bobos : point trop n’en faut

Pour les piqûres, coupures et autres blessures sans gravité, une désinfection rapide, voire simplement un passage sous l’eau claire, est bien souvent suffisante. En effet, nul besoin d’en faire trop. Si la blessure est gênante, il peut toutefois être intéressant de la recouvrir d’un pansement. Cela évitera également le risque d’infection.

Guérir les entorses après une randonnée

L’entorse est une blessure courante et difficile à (bien) soigner. Il est évident que, sur le moment, vous ne pourrez pas faire grand chose. Prévenir les secours, ou essayez de continuer à marcher après avoir bander le pied et en s’aidant de bâtons de marche sont les seules choses à faire. Par ailleurs, glacez votre cheville aussi vite que possible, afin de limiter l’œdème et l’inflammation. A défaut, s’il y a une rivière pas loin, plongez-y le pied. Par la suite, une radio sera souvent nécessaire. En effet, une entorse étant souvent plus douloureuse qu’une fracture, il est possible de passer à côté.

Par la suite, toutefois, il est intéressant, en plus de la kinésithérapie, de faire appel à un ostéopathe. En effet, suite à une entorse, il arrive que l’astragale, l’os formant le talon, ne soit plus aussi bien maintenue. Vous risquez donc une usure prématurée de l’articulation de la cheville et des entorses à répétition. De plus, l’ostéopathie a une approche plus globale que la kiné. Ainsi, si vous avez compensé la douleur, créant des déséquilibres musculaires et posturaux, elle permettra de les corriger.

Les tendinites : un risque à ne pas négliger

Lors de sorties randonnée fréquentes, ou en cas d’équipement inadapté, un risque de blessure handicapant est la tendinite. En effet, le tendon, cette bandelette de tissu reliant le muscle à l’os, est très mal irrigué par les vaisseaux sanguins. Par conséquent, toute atteinte des tendons, comme celle des ligaments, est très longue à soigner.

En randonnée, les plus fréquentes sont la tendinite d’Achille, entre le talon et le mollet, et le syndrome de l’essuie-glace, à la face externe du genou. Dans les deux cas, il est important d’en faire évaluer la gravité par un professionnel. En effet, si vous sous-estimez l’importance de votre douleur, il peut être nécessaire d’opérer, car continuer à faire des efforts ne fera qu’aggraver l’atteinte du tendon. La prise en charge de ces douleurs est souvent multidisciplinaire, et il n’est pas rare de voir intervenir traumatologues, rhumatologues, kinésithérapeutes, ostéopathes et chirurgiens.

Prévenir et guérir les blessures liées à la randonnée : Conclusion

A première vue, en randonnée, il ne s’agit que de marcher ! Toutefois, si vous l’avez déjà pratiqué, vous deviez déjà avoir une bonne idée des risques que cela comporte. En effet, comme l’a vu, bien que la randonnée soit un sport plutôt calme, elle n’exclut pas tous les risques de blessures. C’est pourquoi il est important, voire indispensable, de se préparer correctement : un équipement adapté et une bonne trousse de secours vous permettront ainsi de pallier aux risques les plus courants. N’oubliez pas : le meilleur soin, c’est la prévention !